Chorégraphie, décor et costumes
Note d'intention
Thierry Malandain s'appuie sur des pages du
Stabat Mater et sur l’
Estro armonico Op.3 d’Antonio Vivaldi, partition «survitaminée», presque soumise à la tyrannie du toujours plus, d’où la tentation d’appeler ce ballet : est-ce trop ?
Thierry Malandain crée autour du désir d’élévation et des efforts à accomplir pour atteindre le sommet, se référant aux mots d’André Lendger : « il est plus facile aujourd’hui de gravir un sommet de 8000 mètres que de monter de quelques centimètres à l’intérieur de soi ».
Presse
Avec trois fois rien – (...) des pots de peinture recyclés en lanternes magiques - Thierry Malandain installait le décor d’une célébration à la fois dramatique et joyeuse, où les souffrances d’une mère inconsolée étaient transcendées par l’allégresse irrésistible de la danse.
Ballroom revue, Isabelle Calabre • 8 juillet 2014