Ballet pour 22 danseurs
Durée 77 minutes
Musique
Piotr Ilitch Tchaïkovski
Chorégraphie
Thierry Malandain
Décor et Costumes
Jorge Gallardo
Conception lumières
Francis Mannaert
Réalisation costumes
Véronique Murat
Réalisation décor et accessoires
Frédéric Vadé
Réalisation des masques
Annie Onchalo
Avant-première
11, 12, 13 décembre 2015 Versailles • Opéra Royal avec l’Orchestre Symphonique d’Euskadi
Première Française
16, 17, 18 septembre 2016 • Lyon – 17e Biennale de la Danse de Lyon, Amphithéâtre Cité Internationale
Coproducteurs
Opéra Royal / Château de Versailles Spectacles, Biennale de la danse de Lyon 2016, Opéra de Saint-Etienne, Ballet T – Teatro Victoria Eugenia Donostia / San Sebastián, CCN Malandain Ballet Biarritz
Partenaires
Donostia / San Sebastián Capitale Européenne de la Culture 2016, Orquesta Sinfónica de Euskadi, Opéra de Reims, Opéra de Vichy, Teatro Mayor de Bogota, Fondazione Teatro Communale Città di Vicenza, Dance Open Festival de Saint Petersbourg, Teatros del Canal de Madrid, Equilibre-Nuithonie-Fribourg, Théâtre Olympia d’Arcachon
Note d'intention
Sans se pencher sur toutes les interprétations du conte, on peut y déceler un récit initiatique visant à résoudre la dualité de l’être : la Belle incarnant l’âme de l’être humain et la Bête sa force vitale et ses instincts. Avec Jean Cocteau, dont le film sortit sur les écrans en 1946, le regard se porte sur la représentation des démons intérieurs de l’artiste à travers la double nature de la Bête. Unité perdue ou nature humaine déchirée, quoiqu’il en soit, sur des pages symphoniques de Tchaïkovski, dans notre proposition la Bête, délivrée de ses démons intérieurs, épousera la Belle sous un soleil ardent.
Thierry Malandain
On est suspendu au duo qui oppose les deux êtres si dissemblables, bouleversés par la délicatesse avec laquelle leurs sentiments évoluent doucement, allant de la bestialité à la tendresse et à la sensualité, la souffrance de la bête, sa peur de se laisser apprivoiser et celle de la belle d’être conquise, au-delà des critères normaux de la séduction. […] De la belle et souveraine Claire Lonchampt, sortie d’un album romantique, à l’étonnant Mickaël Conte, Bête puissante aux sauts impressionnants et à la souffrance contagieuse, outre la superbe précision d’Arnaud Mahouy et la force expressive de Frederik Deberdt, père de la Belle. Parler ici de néo-classicisme s’impose par le style des portés, le dessin des ensembles, la qualité des costumes, élégamment traditionnels, et même l’intrusion de quelques pointes pour la petite Patricia Velázquez, dans le rôle de l’Amour.
Concertclassic.com, Jacqueline Thuilleux • 14 décembre 2015
Le Figaro, Ariane Bavelier • 20 décembre 2015
Scénographie minimaliste pour chorégraphie virtuose. Telle est cette nouvelle version de La Belle et la Bête signée Thierry Malandain […].
Résidences-décoration.com, Serge Gleizes • février 2016
Contacts
Malandain Ballet Biarritz
Yves Kordian – directeur délégué – y.kordian@malandainballet.com
Lise Philippon – chargée de diffusion +33 (0)5 59 24 96 98 – l.philippon@malandainballet.com